Devant l’insécurité que fait régner le colonialisme algérien sur notre territoire, il est urgent de mettre sur pied dans les villages et les villes des groupes de gardiens de la paix pour assurer la sécurité des personnes et des biens.
Il y a un mois, c’était un chanteur qui fut retrouvé dans la même localité pendu et tailladé, avec des inscriptions sur son cadavre de type : “Continue de chanter ta Kabylie”. L’enquête policière n’a pas fait la lumière sur ce crime.
Aujourd’hui, en plein marché, qui a opéré ? Pourquoi la police d’Alger n’était-elle pas intervenue au moment des faits ?
Le président de l’Anavad alerte l’opinion internationale sur la gravité de la situation que nourrit le pouvoir algérien en Kabylie pour en abîmer l’image aux yeux du monde entier.
Ferhat Mehenni
Président de l’Anavad
SIWEL 311816 OCT 16