Assisté par son fidèle aide-soignant, M. Arezki Sadmi, dit affectueusement Piace, il n’y avait pas une famille de l’ex sous-préfecture d’Iɛeẓẓugen qui ne bénéficia de ses soins et de ses conseils médicaux. Il jouissait d’une admiration et d’une estime rares dans la région, autant que le Dr. Salhi à Tizi-Ouzou.
Après une incursion dans la politique au début des années 90, il prit sa retraite qu’il vient de terminer à Aubagne (près de Marseille) entouré de sa femme, de ses enfants et de ses petits-enfants.
Hommage à l’ami qui avait soigné toute ma famille, hommage à l’ami avec lequel j’avais eu des échanges d’idées.
En cette douloureuse circonstance, je présente aux siens et à tous ceux qui l’aimaient, mes condoléances les plus sincères.
Ferhat Mehenni